Epigénétique Andorre

Le bien-être est une valeur clé pour améliorer votre épigénétique

L’épigénétique fait parti, aussi, de la Biologie, mais elle étudie comment notre entourage et l’ « histoire » de l’individu peuvent influencer l’expression des gènes.

Ainsi dit, l’épigénétique étudie les changements de l’expression des gens qui peuvent se présenter sans aucune altération dans la séquence des nucléotides du ADN.

Selon P.B.Medawar et al. “La génétique propose et l’épigénétique dispose”.

La conclusion est:

L’épigénétique étudie comment et pourquoi certains gènes peuvent s’exprimer et d’autres non.
Ainsi l’influence de notre entourage peut être positive ou négative en ce qui concerne l’expression de nos gènes ou leur l’inhibition.

Notre environnement est déterminé par différents paramètres.
Par exemple:
Notre façon de vivre, l’endroit ou nous vivons, notre caractère, nos émotions, nos réactions vis a vis tous les que nous recevons jour après jour de notre milieu extérieur, les types d’alimentation que nous avons, etc.

Si on prend par exemple l’alimentation, aujourd’hui nous savons que les aliments peuvent bouleverser notre épigénome et que ces changements peuvent être positifs ou négatifs, selon chaque personne, son âge, son sexe, etc.

Savoir quels aliments favorisent un phénotype « en bonne santé » est une façon d’optimiser notre santé.

On sait que certaines substances comme l’alcool, le tabac, les médicaments ou les substances toxiques comme les pesticides sont susceptibles avoir une influence sur nos descendants vu que toutes peuvent initier des mécanismes chimiques qu’éventuellement vont produire des changements sur notre épigénome.

Les variations épigénetiques qui ont lieu avec les produits chimiques ou par une alimentation pauvre  on été très étudiées, mais tout récemment, on a découvert qu’il y a une mémoire épigénetique et celle-ci transgénérationnéle.

Le fait qu’un de nos progéniteurs ait eu faim bien avant de nous engendrer, n’impliquerait aucun changement dans la séquence de nos gènes, mais le fait d’avoir souffert une famine peut avoir comme conséquence que certains gènes puissent s’exprimer et d’autres non.

Égal génotype mais diffèrent phénotype:

Nous sommes ce que nous mangeons, ce que nous pensons, ce que nous ressentons

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